Love

Laure & Lucas

Coralie & Antoine

Sophie & Lionel

Sophie & Steve

Céline & César

PORTRAITS

Rémy Fenzy Directeur de l’Ecole Nationale Supérieure de la Photographie Arles, 2016

Marion Tylec Artiste Lisbonne, 2014

Françoise Estagnasie, Magicienne, Paris, 2016

Christaan Felber, Photographe, New-York, 2016

Svetlana Lazareva, Mannequin IMG Model, New-York, 2016

Juliette Maurin, Chanteuse lyrique, Cancale , 2016

La séance de pose

La séance de pose est un enregistrement sonore d’environ 1min 30.

Ce travail interroge le rapport au modèle, en bouleversant le schéma habituel : homme/photographe/artiste/créateur/dominant versus femme/passive/modèle/muse/dominée.

Dans un jeu de domination ironique, légèrement érotique et un peu cruel, la photographe dirige par sa voix un modèle masculin

The Would Be Me

 

Relations à peine esquissées mais avortées, passions qui un jour ont cessé, histoires d’amour mortes avant d’exister.
Des évènements infimes, un contexte inapproprié, des ressentis minuscules ou énormes, de mauvaises interprétations, des ratés, dont la conséquence est une déviation de chemin.
En abandonnant ces pistes, on renonce aussi aux vies possibles qui y sont associées.
C’est l’âge où les choix que l’on fait dans nos vies amoureuses impactent : se marier, avoir un enfant, épouser le style de vie, la religion, la famille ou le milieu social de son conjoint.
J’ai recontacté toutes ces personnes qui ont traversé à un moment ma vie afin de mettre en scène l’hypothétique futur que l’on aurait eu ensemble. Si l’histoire avait eu lieu, si la relation s’était développée, officialisée ou si elle avait continué.
L’image est le résultat d’une expérience performative. Pendant la durée de la prise de vue, les modèles et moi-même vivons ces vies imaginaires. Je fais les courses avec un nouveau-né, passe l’après-midi à la salle de sport, ou déjeune avec une famille qui pourrait être ma belle-famille.
C’est un travail qui se situe entre un passé révolu, le présent de la prise de vue, et un futur qui n’existera pas.

Porteurs d’Encre

Installation sonore - Portraits noir et blanc - Aiguilles entomologiques

Ce travail existe également sous forme de livre d'artiste auto-édité.

 

"la Poésie de la canaille malheureuse" c'est ainsi qu'Albert Londres surnomme le tatouage en 1923. 

Phénomène à la fois sociologique, esthétique, érotique, anthropologique et psychologique, le tatouage reste aujourd'hui encore sulfureux malgré une certaine démocratisation. 

Les porteurs d'encre  inconnus jusqu'au moment de la prise de vue sont invités à se déshabiller dans le studio photographique et à raconter leurs "bouzilles".

Douleurs physiques, cicatrisations plus ou moins réussies, passé que l'on aimerait oublier ou au contraire moments qui se veulent indélébiles s'entremêlent comme des motifs. 

Vue d’exposition, Palais de l’archevêché, Arles, juin 2016

Les Perdants

 

Aquarelle et crayons de couleur sur papier, 15 x 20 cm

Solo show

 ► (Dans) Leurs lits, Galerie G - Toulon

 ► Jusqu'au 1er mars 2017